• Et chaque petite parcelle d'eau devient un miroir doré...




































           Poulfoën, 2 janvier 2009                                                            
                                                                    Bon week end !


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  • Bonsoir tout le monde,

    ça y est c'est le week end !

    En ce moment les tempêtes se succèdent, moi je vous en montre une de l'été dernier sur la plage de Brignogan, c'était un jour à marée haute, avec la plage en pente forte, vous savez lorsque les vagues se retirent loin et que tout d'un coup il y en a une, imprévisible qui balaie tout sur son passage, les enfants s'amusent souvent  à les guetter, reculent, avancent avec elles et hop ! Se font mouiller les pieds, et même que ça n'arrive pas qu'aux enfants !

    Bonne soirée, bonne grasse matinée...


















                                                                             Bisous de Bretagne !



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  • Tout à l'heure sur Tf1 à 18 h 50 :


    Une personnalité à découvrir :
     Capitaine Paul Watson, un pirate pour sauver les baleines
     
                                                                 

    Dix navires coulés ou endommagés. Voilà le tableau de chasse du plus grand flibustier du XXIe siècle, le capitaine Paul Watson. «Pirate écolo», «œil du cachalot» ou «éco-guerrier», Watson est un activiste qui lutte pour la sauvergarde et la protection de la faune marine en pourchassant sur toutes les mers les navires baleiniers et les tueurs de dauphins et de phoques.


    “Je ne vois pas pourquoi il serait anormal de risquer sa vie pour protéger les baleines. Après tout, il y a beaucoup de gens qui sont prêts à mourir pour leurs convictions." Paul Watson
    Paul Watson est né en 1950 au Canada et il fut un des acteurs de la fondation de l’assocation Greenpeace. Après avoir servi l’ONG quelques années, il la quitte en 1977 car il la trouve trop prudente. Passionné et determiné, Paul Watson comprend qu’en matière de sauvegarde de l’environnement, parfois, le pacifisme ne change rien à la volonté des Etats, et il souhaite entrer dans un activisme plus marqué. Pour cela, il crée la Sea Shepherd Conservation Society. Et ni les arrestations, ni les peines de prison n’ont réussi à le faire changer d’avis. Paul Watson poursuit sa lutte.

    Pourquoi s’est-il engagé dans cette lutte pour les baleines ? Paul Watson explique qu’en 1975, alors qu’il participait avec Greenpeace à une campagne contre les baleiniers de l’URSS, une expérience extraordinaire a changé radicalement sa façon de penser. <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

    « En 1975, un cachalot blessé à mort a épargné ma vie, malgré l’agonie atrocement douloureuse que lui infligeait un harpon explosif reçu en pleine tête. Assis dans mon canot gonflable, j’ai plongé mon regard au fond du sien tandis qu’il s’éteignait à un mètre de moi et j’ai compris alors qu’il y avait un esprit dans ce grand corps intelligent. Cela a changé ma vie pour toujours.

    Au départ, le grand cétacé avait attaqué mon bateau, après qu’il eut été frappé à la tête par ce harpon-grenade soviétique. Son corps s’est redressé hors de l’eau, me dominant de toute sa hauteur et prêt à m’écraser de son poids énorme en tombant. Mais dans cet oeil unique tourné vers moi, j’ai vu briller l’éclair d’une reconnaissance. Nous venions juste d’essayer d’arrêter le tir du harpon mortel et je crois que le cachalot l’a vu, qu’il a compris. Avec un énorme effort, il a fait en sorte de retomber de côté dans la mer et j’ai vu son oeil, qui me regardait toujours, disparaître sous la surface de l’eau. Le cachalot venait de mourir.

    C’est à ce moment-là que j’ai pleinement réalisé à quel point la chasse à la baleine était une pure folie et à quel point le fait de prendre avec arrogance une telle vie, d’effacer en toute ignorance une telle intelligence, de détruire une si poétique beauté constituait un blasphème ignoble. »

    Des pays comme la Norvège, le Japon, l’Islande ou la Russie, après plusieurs périodes de flottements, ont décidé de poursuivre les massacres de baleines qui sont tuées pour leur graisse qui sert à fabriquer des produits cosmétiques. Quant au reste des ossements et de la carcasse, tout est jeté car la consommation de la viande de baleine n’est plus d’actualité. Et même si les armateurs doivent contracter une assurance très coûteuse, cette chasse inutile persiste. Aidé par ses marins embarqués à bord de sa flotte, Paul Watson a donc décidé de poursuivre les bateaux qui chassent illégalement les baleines.

    Pour arraisonner les vaisseaux ennemis, Watson a fait installer 18 tonnes de béton dans la proue de ses navires et quelques piques qui permettent de déchirer la coque des baleiniers ou d’endommager les mécanismes qui font dériver les filets. Planté sur cette même proue, un drapeau pirate qui est l’emblème de son assocation. Pirate donc le capitaine Watson. Mais un pirate qui ne s’attaque qu’aux baleiniers qui violent le droit international. Si certains ont tendance à le voir comme un terroriste, Watson expliqueclairement pourquoi il a choisi la piraterie comme mode d’action.


    “On nous appelle des pirates et ça ne me pose pas de problèmes. Si tu remontes au XVIe ou au XVIIe siècle quand la piraterie régnait sur les Caraïbes, ce n’étaient pas les marines anglaise ou espagnole qui coulaient les navires. Ils étaient bien trop occupés à se droguer, ils étaient tellement corrompus. C’est le pirate Henry Morgan qui attaquait les autres bateaux. Si tu veux arrêter les pirates, il faut un autre pirate. Les gouvernements sont complètement impuissants dans cette histoire." Paul Watson

    A son actif, plusieurs autres activités. Lors de la chasse aux bébés phoques, il peignait la fourrure des animaux en rose pour la rendre inutile aux yeux des braconniers. C’est également lui qui prête ses bateaux aux autorités des Galapagos pour qu’elles puissent patrouiller sur les côtes. Paul Watson a compris qu’il fallait médiatiser ses actions pour gagner l’opinion publique.

    Paul Watson continue donc à écumer les eaux du globe pour faire cesser cette chasse illégale car elle constitue pour lui un crime contre la Nature et contre l’Humanité. Sa conclusion est claire : « Comme les océans seront tristes et vides, privés de leurs baleines ! Notre aliénation à l’égard de la nature sera totale si nous continuons à exterminer ces beaux géants uniques au monde. La vérité est que si nous ne pouvons sauver les baleines, nous ne pourrons pas nous sauver nous-mêmes
    .”

    http://www.seashepherd.org/


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  • Coucou ! Le petit dernier arrivé va très bien, il a repris du poil de la bête, comme on dit, a retrouvé la forme et une belle truffe toute brillante, car il est arrivé déshydraté.

    Au début les chats l'ont observé de haut, bien à l'abri dans l'escalier, comme à chaque fois qu'il y a un nouvel accueilli au "refuge" familial :





    Ensuite tout le monde s'est senti du bout du museau pour faire connaissance et maintenant il arrive que les chats se fassent coursés un moment car ce coquin de cocker trouve ça trés amusant de faire courrir les minets en aboyant !
    A part ça, je n'ai pas encore retrouvé ses maîtres, déménagés du 94 sans laisser de nouvelle adresse à la Centrale Canine. Je continuerai l'enquête au près des toiletteurs du coin, mais j'ai laissé mes coordonnées à la gendarmerie et chez le vétérinaire, pour l'instant personne ne l'a réclamé !...










    Il est très calin, il passe son temps à demander des caresses (j'en  donne autant à Maxou, pas de jaloux !), et moi je ne comprends pas pourquoi les chiens n'ont pas la parole alors qu'ils ont tant de choses à raconter !

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  • Au détour de la dune, quelques minutes au grand air...Il ne faisait pas vraiment froid, 10 degrés je crois, mais un vent frais quand même, la plage était déserte, toute à nous !





    Morgane se cache un moment dans les herbes hautes pour s'abriter du vent, sur le chemin qui descend vers la plage, on aperçoit un reste de voile en tissu spécial mis pour protéger la dune.



    Bisous de la plage !



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